Si près, si loin, les oies blanches

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D’un point de vue résolument plus poétique, l’écrivain GÉRARD BARIL fait appel aux animaux comme une forme de métaphore de la migration intérieure qui l’a mené vers des contrées intimes insoupçonnées dans le récit Si près, si loin, les oies blanches. Celui qui est également chercheur, journaliste et communicateur scientifique tente cette fois de comprendre ce que les célèbres oiseaux migrateurs peuvent lui apprendre sur la vie et il songe à tous ceux qui les observent, à la relation entre les humains et les animaux et au vivre-ensemble dans son sens plus large. Si la lecture nous pousse à tourner notre regard vers l’intérieur, elle nous donne aussi envie de nous déployer dans la nature québécoise. Certains journalistes ont même parlé de ce livre comme d’un baume en ce temps de pandémie.