La critique n’a jamais tué personne

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Au terme de sa florissante carrière dans le milieu de la presse écrite – elle a œuvré au Journal de Montréal, au Devoir, puis à La Presse –, Nathalie Petrowski a eu l’idée d’écrire ses mémoires : La critique n’a jamais tué personne. Dans cet ouvrage, l’auteure de Maman Last Call (1995), réputée pour ses coups de gueule, met en lumière différents aspects de ce métier qui a été le sien pendant plusieurs décennies. Qui plus est, elle revient sur des moments marquants de sa vie professionnelle, au cours de laquelle elle a été amenée à jeter un regard critique – et ce, sans faire de concessions – sur des manifestations culturelles d’envergure, des personnalités politiques et même des phénomènes sociaux d’une grande ampleur. L’entièreté du livre est lue par la journaliste elle-même, avec la verve et le franc-parler qu’on lui connaît. Le résultat est bouleversant de sincérité.